histoire

Si tu devais affronter un détraqueur : J’admirerais ce sombre drapé masquant avec pudeur cette étonnante laideur typique du détraqueur. Sûrement que mes os seraient glacés, je sentirais le givre se déposer sur ma peau, mes yeux piquants, laisseraient perler une larme qui se cristalliserait aussitôt. J’hésiterai à lever ma baguette, pourtant je connais le sort, je l’ai déjà entendu, je pense le maîtriser, je pourrais le reproduire si ma vie en dépendait. Ce serait le cas ici. Mais mes jambes trembleraient, de peur oui, un frisson tétanisant qui m’empêcherait de fuir lâchement. Mon esprit divaguerait déjà, est-ce qu’un autre sortilège pourrait en venir à bout ? Certainement oui, ces créatures sont certes merveilleuses et dangereuses, mais elles sont vivantes, donc mortelles comme moi… Je finirai par pointer le bout de ma baguette vers ce monstre, incertain, balbutiant les premières syllables du maléfice du patronus avant de me raviser pour lancer une explosion. La poussière se lèverait et briserait temporairement ce contact visuel, quelques secondes de répit que je mettrais à profit pour m’échapper.


Si tu devais rencontrer un épouvantard : Le monstre tourbillonne sur lui-même avant de rapidement dévoiler sa forme finale, celle de ma plus effroyable terreur : un scorpion à trois dards. Ses pinces claquent puissamment, ses pattes pianotent sur le parquet comme des doigts sur un piano. Mon sang se fige, je hais ces bestioles, je regarde tour à tour les dards pointant tous dans ma direction, j’imagine l’incommensurable douleur d’une telle piqûre, ses queues se balancent d’avant en arrière, menaçantes, prêtes à attaquer… Je lance le sort du ridikulus et vois le démon se transformer : des bouchons en liège emprisonnent ses dards, des élastiques maintiennent ses pinces et de la glace fait patiner ses pattes devenues ridiculement maigres. J’esquisse un large sourire avant de pouffer.

Si tu étais devant le miroir de Rised : Je me vois lancer des sorts, ils ont l’air complexes, je me vois enivrés, mon bras s’agite, des étincelles de couleurs se dispersent tout autour de moi, j’ai l’impression de me voir danser, les couleurs s’animent, se rassemblent pour prendre la forme de créature, d’arbres, d’esprits. Je me vois maîtriser tous les sorts du monde sorcier et affronter les plus coriaces d’entre eux. Ce n’est pas un combat, mais un vrai duel, ils me respectent et moi aussi, nos baguettes virevoltent et les sorts s’entrechoquant font naître des formes et des couleurs inimaginables…

Si tu étais Ministre de la Magie : r Je démissionnerai aussitôt. Ce genre de travail n’est pas fait pour moi. Je serai parfaitement incompétent pour gérer le monde magique, ce serait le chaos, je trouve que trop de règles et de lois sont absurdes et peut de monde voudrait les voir disparaître. J’ai pas la prétention que je ferai mieux c’est sûr, car je suis convaincu que je ferai sans doute bien pire pour les sorciers.

Si tu devais raconter une anecdote importante  : Grâce à mes parents, je suis franco-américain et s’il y a bien une chose que je déteste c’est que l’on dénigre mes origines. Une pauvre malheureuse s’est amusée, quand j’étais en 2ème année, à m’insulter de « bouffeur de grenouille » devant toute la classe… Je déteste tellement cette fille… Je l’ai harcelé avec des courriers hurleurs pendant 2 mois, je lui en envoyé tous les jours, à n’importe quel moment : pendant qu’elle dormait, ses cours, chez ses parents, quand elle était en date avec le mec qu’elle convoitait depuis des mois et des mois… Elle a finit par quitter l’école, je sais pas si c’est à cause de soucis personnels ou de moi mais j’aime croire que c’est de ma faute.


Si tu parlais de tes rapports avec les autres : Je n’ai pas énormément d’amis mais ceux que j’ai j’y tiens et je serais prêt à faire beaucoup pour eux, ils pourront toujours compter sur moi. Je ne cache pas non plus que je suis très rancunier et tant que je n’aurais pas rendu la monnaie de la pièce, je ne m’arrêterai pas. J’aime faire de nouvelles rencontres, qu’elles soient éphémères ou non. Mais par dessus tout : j’adore emmerder mon monde, quite à dépasser les bornes parfois.

hors-jeu

Prénom/Pseudo : Wawa Ton âge : des siècles. si tu veux ajouter quelque chose naaaaaaaaaaaaaaaaa !